L’adieu à Denis Lalanne : voilà ce qu’il nous avait dit sur sa passion pour le golf

9 décembre 2019

Denis Lalanne est mort à Biarritz dans la nuit de vendredi à samedi. Il avait 93 ans et aurait dû recevoir la semaine prochaine un prix littéraire à Paris remis par l’Académie Française. Entre temps, Dieu a ramassé sa copie.

Pas mécontent le Denis d’échapper ainsi à ce qu’il évitait, les honneurs mondains, lui qui avait toujours fui la capitale et s’était volontairement ancré (encré ?) dans sa province, en bas à gauche de l’hexagone.

Et aujourd’hui, il aurait aimé qu’on dise qu’il s’est absenté car au ciel, il avait une partie de golf qui l’attendait avec Arnaud Massy, Seve Ballesteros et Bobby Jones. Toute affaire cessante. Surtout que les affaires, il s’en foutait ! Jeannot Cormier aurait préparé la fiesta qui suivait et Antoine Blondin aurait aligné les verres (de contact).

Baroudeur dans l’âme, mousquetaire de la plume, gentleman né à Pau où coule un Gave aux accents anglais, Denis Lalanne rebondissait comme une balle de tennis, esquivait les mauvais placages de rugby et s’envolait comme un drive de golf. Ses reportages parus dans l’Équipe ont distillé des moments de rêve et fait naitre plein de vocations au cœur des chaumières.

Denis avait eu l’amitié de nous accompagner quand, il y a un an au golf de Biarritz où nous avions l’habitude de nous voir, je lui ai annoncé la future naissance de Golf Planète. Il a repris la plume et couvert pour nos lecteurs les quatre Majeurs 2019. Nous les publierons à nouveau la semaine prochaine en hommage.

Ce lundi, avant de lui dire un dernier adieu mercredi, nous avons demandé à trois journalistes qui l’ont très bien connu de saluer l’ami et le maitre : Pierre-Michel Bonnot de l’Equipe, Nicolas Jeanneau dont il fut proche, et Denis Machenaud, ancien rédacteur en chef de France Golf. Vous retrouverez leurs témoignages dans le prochain article ci-après.

Pour l’instant, voici des extraits d’un entretien qu’il m’avait accordé sur son rapport avec le golf. Il venait alors de sortir son livre « Trois balles dans la peau ». À savourer malgré la larme au cœur qui nous saisit aujourd’hui.

Merci Denis !

Roland Machenaud

Dans votre dernier livre vous écrivez qu’en golf, la troïka reine a été Bobby Jones, Ben Hogan et Jack Nicklaus. Mais vous affirmez également que le champion le plus fort de tous les temps n’existe pas parce que « tous les temps » n’existent pas. Expliquez-nous ?

Denis Lalanne : … Jones, Hogan et Nicklaus étaient non seulement des champions d’exception mais ils étaient aussi des personnages rares : l’un est resté amateur toute sa vie et a défilé trois fois sur la Cinquième avenue, l’autre a ressuscité après avoir été laissé mort dans un accident de voiture où il s’était exposé en protégeant la vie de sa femme et a remporté alors le petit chelem. Quant au troisième, il est le recordman absolu. Et pourtant, je me garderais bien de dire que Jack Nicklaus est le plus grand golfeur de tous les temps.
Car le plus grand champion, c’est le jeu lui-même, qui est plus grand que tous les joueurs réunis. Et c’est ce qui nous garantit qu’il va continuer ; il ne va pas s’arrêter à Tiger Woods ou à un autre qui sera lui aussi dépassé un jour…

Quel est votre meilleur souvenir de journaliste de golf ? Sur le plan sportif et sur le plan humain ?

Denis Lalanne : Comme je n’ai jamais vu jouer Bobby Jones, je ne serai pas  très singulier en disant que mon plus grand souvenir de journaliste fut la sixième veste verte de Jack Nicklaus en 1986.  Cette victoire n’est pas en soi un exploit liée à son âge  – 46 ans -, Tom Watson, dans sa soixantième année, sera en mesure de remporter l’Open britannique en 2009. L’exploit vient du fait que Nicklaus avait pratiquement arrêté la compétition de haut niveau pour se consacrer à ses affaires industrielles déjà florissantes. Son instinct a resurgi juste au moment où il fallait : et son fighting spirit a fait taire les commentaires qui le disaient fini.  Qui dit mieux que ces dix derniers trous où il joue sept coups sous le par ?

Toute l’Amérique s’est mise alors à rugir : « Jack is back ! Jack is back ! ».

Que rêver de mieux comme souvenir sportif et humain ? Peut-être, la première victoire en Ryder Cup de l’Europe de Tony Jacklin au Belfry en 1985. L’Angleterre était folle.

Vous rendez un émouvant hommage à un golfeur inconnu du nom de Van Citters qui a osé rendre une carte de 316 lors d’un tournoi organisé en 1888 sur le parcours de Biarritz, parcours que vous fréquentez tous les jours. Pourquoi cet hommage inattendu ?

Denis Lalanne : J’ai toujours aimé les tocards et les fous : non que je veuille faire l’éloge de la défaite, mais qu’un tocard accepte son indignité au point de garder sa carte et de la marquer jusqu’au 316è coup final au lieu de la déchirer en chemin en ayant beaucoup de raisons valables de le faire : je trouve cela sublime. La cuillère de bois exposée au golf de Biarritz qui rappelle l’épisode dramatique vécu par le nommé Van Citters me trouble chaque fois que je la vois. 

Lutter contre l’inexorable, c’est la plus belle preuve de sportivité !

Battre un adversaire c’est bien, se battre soi-même, c’est une question d’honneur… Voilà ce que j’ai toujours aimé chez nos amis british : c’est cette volonté de lutter contre son adversaire intérieur.

Je vois encore ces jeunes gens d’apparence malingre, chapeau melon, cravatés dans les rues d’Oxford ou de Cambridge qui, une fois en tenue de combat, changeaient de nature. Ces jeunes m’ont toujours plus attirés que les matamores rencontrés ça et là.

Pourquoi le golf n’a-t-il pas la place dans la presse qui devrait lui revenir puisqu’en France il a plus de licenciés que le rugby, le hand ou la natation ? Et qu’il est un des sports les plus pratiqués dans le monde. Est-ce un échec personnel de ne pas l’avoir assez vendu à l’interne à l’Equipe ?

Denis Lalanne : Le journal L’Équipe n’est pas seul en question. J’ai commencé à écrire sur le golf dans Le Figaro en 1953. Arrivant de mon sud-ouest natal, on m’y confia d’abord les rubriques rugby et tennis. Puis mon chef me demanda un jour : « Connaissez-vous le golf ? ». Je répondis : « Non, je ne connais pas le golf ». « Très bien : vous ferez aussi le golf ! », me dit-il en forme de brimade. Quand j’arrive à L’Équipe en 1955, Jacques Goddet me confie la direction des services rugby et tennis, mais pas question du golf, que le patron tenait en piètre estime pour des raisons que je crois deviner : parmi ses relations mondaines, il ne devait pas y avoir beaucoup de golfeurs pour imposer une image de vrais sportifs, si vous voyez ce que je veux dire !

C’est Pierre Skawinski, sportif dans l’âme, qui me demande de couvrir aussi le golf. Notre complicité a fait que nous avons grignoté un peu de place dans nos colonnes et que j’ai pu couvrir les tournois du grand chelem, la Ryder Cup, les prouesses à travers le monde de notre merveilleuse équipe féminine, avec cette grande dame de Lally, et Catherine, Claudine, Bibiche.

Ce qui a surtout manqué pour enlever le morceau, c’est un joueur français comparable à ce jeune de 17 ans qui jouait derrière nous, un jour de pro-am à Biarritz :  » Regarde-le bien, celui-là, me dit le cher Jean Garaïalde. Tu m’en diras des nouvelles « . C’était le jeune Severiano Ballesteros ! Jeannot Garaïalde chez les pros, Henri de Lamaze chez les amateurs, ça tenait joliment la route. Mais il eut fallu un monstre médiatique, un Ballesteros français, pour évangéliser un pays qui a bien de la chance, entre nous, d’avoir enlevé la Ryder Cup de 2018, car il n’a pas encore fait la preuve qu’il était vraiment un pays golfique. Je suis fier quand même d’avoir éveillé la curiosité et ouvert la porte à quelqu’un comme Pierre-Michel Bonnot, dont la jubilation  est manifeste dans ses chroniques du Journal du Golf.

Mais pour vous dire dans quel désert golfique on pouvait prêcher  chez nous, une simple anecdote. C’était une conférence de presse à St. Andrews, où Jack Nicklaus venait de gagner « The Open ». Je lui demande quand donc on aurait le plaisir de le voir jouer en France. Il me répond, glacial, et à la grande joie de l’assistance britannique : « I was in France last week, sorry to miss you ». Avant le tournoi, il s’était arrêté à Paris pour diner chez Maxim’s….

Et l’avenir du golf ?

Denis Lalanne : … N’ayons aucune crainte : le golf n’est pas menacé par l’uniformité. Je le dis dans mon livre : comme on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve, on ne refait jamais deux fois le même parcours sur un golf qu’on connaît par coeur. En golf,  la technique sera toujours au service du génie. En rugby, on peut être génial sans avoir de technique, sans connaître les règles. Pas au golf.

Un mot sur le public du golf : « on n’a jamais entendu des spectateurs sur un parcours siffler un putt raté », dites-vous. Ca change du rugby !

Denis Lalanne : Il y a une bonne raison à cela : c’est qu’à la différence du public du rugby, le public du golf est un public de pratiquants ! Ils savent ce que c’est que de rater un putt, que d’être dans un mauvais jour, d’avoir la poisse. Au Stade de France, ceux qui sifflent n’ont jamais touché un ballon…

Avez-vous une préférence par rapport aux trois balles ?

Denis Lalanne : Le rugby m’attache car un « quinze » est un digest de la société humaine. La petite balle blanche me remplit de bonheur à titre personnel. Mon idéal professionnel a toujours été d’intéresser les gens à quelque chose qu’ils n’ont pas encore le bonheur de connaître. Quand je suis arrivé à L’Équipe, le rugby était considéré comme un sport régional, le tennis comme un sport de riches et le golf comme un sport de vieux. C’était un beau chantier !

Vous jouez toujours au golf à Biarritz où vous vivez. Quel parcours aimeriez-vous rejouer une dernière fois ?

Denis Lalanne : Soit Augusta, soit Portrush, les deux extrêmes. En compagnie de Tom Watson… Et avec Bobby Jones !…

Photos RdM

 

 

 

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