
Une balle et une face de club mouillées font perdre contrôle et précision : sécher son équipement est donc essentiel à chaque partie pluvieuse ou humide.
Il pleut, il mouille, c’est la fête à la grenouille mais pas forcément la vôtre car quand la balle de golf est humide, cela a un impact direct conséquent sur la trajectoire et le contrôle !
Les tests menés par Today’s Golfer sont sans appel : sur un coup de wedge, le backspin chute de plus de 88%, la balle monte plus haut, glisse sur la face du club et, surtout, s’arrête beaucoup moins vite sur le green.
Une dispersion plus importante
Ils ont également constaté une baisse du backspin, beaucoup moins conséquente, au drive et des coups légèrement plus longs.
Effectués avec un robot et non un humain, les tests menés par Golf Digest ne donnent pas les mêmes résultats. Ils ont constaté une baisse du backspin et une augmentation de la distance au fer 5 mais pas au driver. Ce qu’ils ont observé, cependant, c’est une augmentation de la dispersion avec les deux clubs.
Here’s why you should dry off your golf ball more often.
— Golf Digest (@GolfDigest) May 31, 2025
Faites comme les caddies sur le circuit
Voilà pourquoi, sur le Tour, lorsqu’il pleut les caddies protègent systématiquement la balle – et non le joueur. Vous verrez également des pros prendre une serviette pour sécher la face du club avant de taper. Ce n’est pas seulement un rituel, c’est un effort pour garantir un contact aussi propre et sec que possible afin de maintenir une trajectoire de balle prévisible.
Vous devriez en faire autant. À chaque fois que c’est possible, profitez des règles d’hiver pour lever, nettoyer et replacer votre balle. Et si vous utilisez un laveur de balle entre un green et le départ suivant, veillez à bien la sécher, surtout si le trou suivant est un par 3…