
» Comme rien n’est fait pour lutter contre ce mal, le phénomène de lenteur qui menace le circuit professionnel est entrain de se répandre comme une épidémie. Tout cela a des conséquences négatives sur beaucoup de joueurs qui sont obligés de s’adapter ensuite à des parcours plus secs, plus fermes, plus difficiles. Et quand la nuit tombe, certains sont obligés de revenir le lendemain matin de bonne heure… On devrait prendre enfin des sanctions contre le jeu lent. Aucune partie ne devrait dépasser 5 heures au maximum ! ».
Fin janvier déjà, Brooks Koepka avait commenté de façon critique la routine que Bryson DeChambeau avait choisie lors d’un tournoi à Dubai et qui retardait tous les joueurs le suivant.











