
On vous a sélectionné quelques petites phrases savoureuses en provenance du Royal Portrush à la veille du coup d’envoi du 153e Open britannique.
De notre envoyé spécial à Portrush, Stefan Colin
Mon rêve de gagner l’Open britannique a débuté sur un putting green à l’âge de 8 ans. Il est toujours d’actualité.
Signé Justin Rose, 44 ans, 2e l’an passé du British à Troon et qui va disputer son tournoi préféré pour la 20e fois.
Je crois que Rory va avoir trop d’émotions à gérer cette semaine. J’espère qu’il se battra pour la victoire, mais il va devoir supporter le poids de tout un peuple sur les épaules.
Natif de Portrush, le joueur du LIV Graeme McDowell n’est pas très optimiste sur les chances de victoire de son compatriote.
Oui, il pourrait y avoir dans le futur un Open britannique à Portmarnock.
Le patron du Royal&Ancient Mark Darbon a ouvert la porte à un « British » en Irlande, sur l’un des plus beaux parcours du monde. Pour le moment, seul Portrush en Irlande du nord fait partie de la rotation des parcours de The Open en dehors de l’Angleterre et de l’Écosse.
Je me réveille encore tous les matins en essayant de me pincer, en regardant le trophée, et en pensant que c’est vraiment le mien.
J.J. Spaun, qui va disputer son tout premier Open britannique, a encore du mal à réaliser qu’il est le vainqueur de l’US Open.
Rory est en forme. On a juste besoin d’un bon départ demain.
Il parle d’habitude peu, mais le caddie de Rory McIlroy, Harry Diamond, s’est exprimé au micro de The Open’s ‘Live From The Range’ (en direct du practice) en laissant entendre que son patron tapait très bien la balle…
Stuart Franklin/R&A/R&A via Getty Images